Devant la Croix

AMOUR JE T’AIME ! . .

Tout le monde parle d’amour ! Tout le monde acclame et réclame l’amour !

Mais le connaissons-nous vraiment ? De quel amour s’agit-il ? D’un amour de cœur à cœur, de corps à corps ou des deux à la fois ? Une chose est certaine, l’amour dans son essence est une histoire de cœur !

Peut-on définir l’amour? Il semble que tout le monde se fait sa propre idée de l’amour. J’aimerais moi aussi par ce récit, parler d’amour…

L’amour est sans aucun doute la plus grande puissance de transformation !
L’amour est un attachement mutuel entre au moins deux êtres.
L’amour est une profonde émotion.
L’amour est aussi un acte de volonté (peu importe les émotions, bonnes ou mauvaises) pour le bien, la fidélité, la justice.
L’amour atteint l’apogée dans la réciprocité.

Les chansons d’amour (de corps à corps, de cœur à cœur ou des deux) n’ont pas pris une ride ! Depuis ma tendre jeunesse jusqu'à aujourd’hui, j’entends encore et toujours : « Je t’aime mon amour… pour toujours… pour l’éternité ! Je préfère la mort plutôt que de vivre sans toi, etc. »
Ce qui est troublant, c’est que malgré ces déclarations « divines », les couples ne cessent de se déchirer (on compte aujourd’hui 1 divorce pour 2 mariages). Les promesses données avec sincérité se dissolvent… des relations bonnes et profondes se brisent… et tout cela sous le « couvert » de l’amour. C’est cela l’amour ? C’est quoi l’amour ?...

Existe-t-il une seule bonne définition de l’amour ? Si oui, laquelle?

Je n’arrive pas à croire, et refuse même, que cet amour tant glorifié depuis la nuit des temps par tous les hommes (publicités, poésies, films, chansons, etc.) puisse également être instable, décevant et diviser à ce point…

Où est le problème ? Car problème il y a !

N’a-t-on rien compris à l’amour ? N’est-il en réalité pas aussi puissant et fidèle qu’on ne le croyait ? Dans ce cas, à quoi bon continuer avec toutes ces promesses d’éternel attachement ?
Serait-ce possible qu’on se fasse parfois ou toujours piéger par un faux amour, se déguisant sans cesse en amour véritable ?

Il est certain que nous sommes continuellement confrontés aux choses vraies et fausses, nous amenant dans la confusion… car le faux peut avoir une apparence de vrai et forcément,
le vrai une apparence de faux. Cependant il existe de très belles choses fausses et avec certains avantages. J’ai moi-même une magnifique veste en simili cuir qui ne m’a pas coûté cher. Je n’en désire pas une vraie, tant cette imitation me plait. De même pour les sacs à mains, chaussures et autres. Mais pour ce qui est de l’amour, l’être humain ne sera jamais satisfait par l’imitation ! Son cœur soupirera toujours après le véritable amour ! La chanson connue avec ces paroles : « Dis-moi, dis-moi que tu m’aimes, même si c’est un mensonge » nous fait rire jaune, pas vrai ?

Alors, c’est quoi le véritable amour ?

Voici un témoignage à ce sujet… le mien, incroyable mais vrai !

J’ai eu le bonheur, voire la chance, d’être née dans une famille qui a choisi de croire en l’amour de Dieu. En famille on lisait régulièrement les « lettres d’amour » de Dieu, adressées aux humains (paroles qu’on peut trouver dans la Bible). Mes parents puisaient continuellement dans cette « source d’amour » pour ensuite faire la distribution à leurs enfants. Ainsi j’avais une « idée » de ce qu’est le véritable amour. J’expérimentais les effets de cet amour comme une joie intérieure inexplicable qui me donnait un puissant élan de vie et l’impression d’appartenir à une famille riche, alors que nous manquions souvent d’argent.

Grâce à cette « richesse » notre cercle familial ne se refermait jamais sur lui-même. Il restait toujours une ouverture, une bienveillance pour le prochain, qu’il soit pauvre, riche, malade, beau, vieux, jeune, agréable, pénible, etc. Combien de fois j’ai pu voir des personnes transformées par l’amour de Dieu. Evidemment j’en parlais partout, car je désirais que le plus grand nombre puisse bénéficier de cet amour tout comme moi. Je vivais le paradis sur terre ! Pas étonnant que je veuille tout partager avec ce Dieu d’amour et me donner entièrement à lui pour connaître toujours plus et de mieux en mieux l’amour. J’avais même le désir que ce soit Dieu qui choisisse mon futur mari, s’il voulait que je me marie un jour. Il l’a fait ! Il l’a vraiment choisi pour moi. J’ai trouvé l’homme de ma vie ! Un amour indescriptible !

L’amour avec mon mari, mes enfants, mes parents, mon frère, mes sœurs et tout mon entourage me comblait. Je pensais que ma vie allait continuer ainsi, d’amour en amour, de bonheur en bonheur. Mais… lentement et sûrement les choses ont pris une autre tournure… C’est comme si Dieu s’était détourné de moi et m’avait retiré tout son amour. Je ne comprenais plus rien… je ne le comprenais plus… Qu’avais-je fait à mon Dieu d’amour ? Je me creusai la tête et me remis en question. Je ne voyais rien, si ce n’est d’avoir cru en lui, le remerciant toujours pour tant de bonheur.

Des coups s’abattaient sur les membres de ma famille l’un après l’autre, commençant par mon mari qui est tombé dans l’alcoolisme…
Souvent je me sentais comme sur un ring, j’avais juste le temps de souffler un peu avant le coup suivant. Je m’adressais à Dieu en criant : « Pourquoi ces coups, n’es-tu pas un Dieu d’amour » ? Il me semblait que Dieu me faisait passer par tous les états d’âmes pour me faire douter de tout.
J’ai finalement arrêté de croire à l’amour, au couple, à la famille, à la joie et même à la sincérité des gens, croyants ou non. J’arrivais au point d’être persuadée que chaque personne au fond d’elle-même était tordue, qu’elle le veuille ou non, y compris moi-même. De nombreuses fois j’étais prise de vertige. Dans chaque pièce de notre maison je posais une Bible, ainsi, quand un malaise me saisissait, j’avais tout de suite une Bible sous la main. Je m’accrochais alors à un verset comme à une bouée de sauvetage. Ma peur de devenir folle s’est changée en désir de le devenir vraiment. J’ai passé d’innombrables heures en m’appuyant sur la croix dans notre église (de laquelle mon mari était le pasteur) en soupirant : « Pitié Jésus, sors-moi de cet enfer ! » Mais Dieu gardait le silence…

Moi qui aimais tant voir Dieu agir pour me sentir bien, j’étais vraiment bien servie par son silence. Parfois je lui disais : « Tu vois, je m’applique à suivre tes règles, je veille sur ma maison, mes enfants, je prends du temps pour toi et je te dis que je t’aime et toi tu ne me réponds pas et me laisses dans cet état de frustration. J’en déduis donc que j’ai plus d’amour pour toi que toi pour moi ! Est-ce normal ? »

Apparemment ça ne l’impressionnait pas puisque le silence continuait… Alors moi aussi je continuais d’aller à l’église (souvent sans aucune envie), faire des visites dans les homes et les hôpitaux, faire du porte à porte tout en souhaitant qu’aucune porte ne s’ouvre… car je ne ressentais plus d’amour pour les gens, je le faisais simplement par obéissance à la parole de Dieu. Il m’arrivait de me demander si je n’étais pas devenue « maso ». Mais tant pis, j’étais en train de prendre Dieu au mot quand il dit : « celui qui m’aime, c’est celui qui met en pratique mes paroles ». Si en obéissant je devais définitivement tout perdre, ce ne serait plus de ma responsabilité, j’aurais essayé en prenant tous les risques… et… je commençais à me sentir comme morte, jusqu'à devenir insensible à tout ce que je voyais ou sentais… Je m’identifiais (dans une petite mesure bien sûr) à Job, de la Bible, et à son malheur arrivé alors qu’il ne connaissait rien d’autre qu’un attachement sincère à son Dieu.

Un jour pourtant, à ma grande surprise… une nouvelle dimension dans ma relation avec Dieu s’est ouverte. Il m’est difficile de trouver les mots pour la décrire…

Un voile devant mes yeux venait de se lever. Je réalisais que Dieu m’avait fait passer par la « fournaise », tel un orfèvre, qui doit brûler les grains de poussières tenaces qui se sont incrustés au métal afin que l’or pur apparaisse au point que l’orfèvre lui-même puisse s’y refléter, comme dans un miroir.
Cette poussière dont je devais être libérée, était mon attachement aux dons plus qu’au donneur. Ainsi, sans m’en apercevoir, je m’éloignais de la source d’amour, Dieu en personne. J’étais pourtant persuadée d’être attachée à Dieu plus que tout, puisque je n’arrêtais pas de le remercier pour toutes ces choses qu’il me donnait… Mais Dieu me connaissait mieux que moi-même… Ces choses suffisantes à mon bonheur étaient bien la preuve de mon attachement à celles-ci plus qu’à Dieu seul.

Jamais je n’aurais imaginé que Dieu puisse être jaloux comme nous-mêmes pouvons l’être… Je ne pensais pas que Dieu puisse aussi désirer être aimé par nous d’un amour pur (exclusif) comme nous-mêmes le désirons.

Car avouons-le, nous ne désirons pas être aimés uniquement pour ce que nous donnons… Mais comment Dieu, lui qui donne l’amour pour aimer tout autour de nous, peut-il en même temps réclamer un amour exclusif de notre part ?
J’étais en effet encore loin de le connaître vraiment, lui et l’amour véritable.

Dieu aurait donc comme nous, besoin d’être aimé… Je commençais à comprendre pourquoi Dieu dit dans sa parole, la Bible : « Faisons des êtres humains à notre ressemblance ». Serait-il donc prêt, à cause de son besoin d’amour, de se faire connaître à nous ses créatures ?...

Je continue à vous partager un peu de ce que je réalisais de cet amour infiniment grand…

Il existe une confusion, due à une grande ignorance, entre l’amour et les émotions. J’ignorais que l’amour et de merveilleux sentiments ne vont pas toujours de pair. Je réalisais, à mon grand étonnement, avoir eu d’agréables sentiments sans amour, et aussi de l’amour sans sentiments. J’essaie de l’illustrer par cet exemple : Quand une femme mariée refuse, pour préserver son couple et ne pas faire du tord à son mari qui lui est toujours attaché, de tomber dans les bras d’un homme pour qui elle a de forts sentiments, elle manifeste de l’amour sans pour autant ressentir des sentiments agréables…

L’amour véritable prend au sérieux la justice, les promesses, la fidélité, alors que le sentiment en lui-même, n’en est pas capable…
Comme la rivière qui existe grâce à la source, et non l’inverse, ainsi les sentiments existent grâce à l’amour. De la même manière qu’on peut se désaltérer avec l’eau découlant de la source, sans pour autant la posséder, ni même la connaître, ni savoir où se trouve cette source, on peut aussi jouir des sentiments découlant de l’amour, sans vraiment connaître l’amour.
Voici une autre confusion, allant de plus en plus grandissante : l’amour et le sexe…
Pour vivre le summum de l’amour dans une relation, le sexe n’est pas indispensable. Heureusement pour nous, autrement tout le monde serait obligé de « faire l’amour » avec tout le monde… Imaginons les conséquences : une destruction, un déséquilibre psychique général, diminuant toute capacité d’aimer véritablement. Grand nombre de sexologues en savent quelque chose et nous informent suffisamment sur les dégâts, comme la pédophilie et autres. Le sexe, selon les « normes de l’amour » (Bible) a besoin d’être cadré et protégé par des promesses de fidélité entre un homme et une femme. Quoi de mieux qu’un engagement dans le mariage ? Le sexe, selon ces normes, ne durera pas, mais l’amour existera éternellement…

L’amour est le commencement, l’origine, la matière première, la réalité invisible, la source.

Tout ce que nous voyons et sentons émane de l’invisible, c’est ce qui découle de la source, c’est l’effet, la copie, l’ombre, le reflet de la chose première. Sans doute sont-ils là et ont leur importance, uniquement pour nous servir « d’indices » dans le but d’attirer notre attention sur l’existence d’une source, et qu’il importe de la trouver absolument. En revanche, si nous faisons des indices notre but et unique bonheur, nous risquons de manquer la source, ce qui voudrait dire : passer à coté de notre raison d’être, de l’amour, de la paix véritable, parfaite et durable.
Nous pouvons tous constater, que les choses découlant de la source (y compris les plus belles et les plus grandes) sont variables, changeantes et finissent par périr. Il va de soi que nos sentiments attachés à ces choses, sont aussi changeants et éphémères. En effet, ce qui découle de la source est voué à s’épuiser, s’arrêter, périr, être détourné, modifié, pollué, etc. La source quant à elle, reste pure, non périssable, invariable, non manipulable, parce qu’elle est Dieu.

Dieu est Amour, selon la Bible.

Si nous voulons un bonheur véritable et durable en amitié, en famille, en couple, etc., il faut quelque chose de plus que seuls de puissants sentiments…
Concernant les mariés, comment se fait-il qu’au moment des vœux, ils ne se promettent jamais d’être fidèles à leurs sentiments amoureux ?... Simplement, parce qu’il est impossible d’être fidèle à un sentiment qui lui, ne respecte pas la fidélité. Et pourquoi se promettent-ils fidélité dans les bons et les mauvais jours ?... Parce que l’amour véritable est capable d’être fidèle aussi et surtout quand les jours sont mauvais.
C’est curieux, mais quand les sentiments profonds disparaissent et que l’occasion se présente enfin de pouvoir connaître, expérimenter et démontrer l’amour dans toute son intégrité, plus personne ne veut y croire et on a envie de prendre la fuite… (bien entendu je ne parle pas de certains cas où il est absolument nécessaire, voire vital de prendre la fuite).

Quant à ma situation, parce que je ne voyais ni ne sentais plus les bontés de Dieu dans ma famille, je pensais que Dieu avait retiré son amour en moi et pour moi. En réalité, c’est parce qu’il est amour, qu’il essayait de me faire comprendre que avant même que j’existe et que je puisse voir et sentir les choses, son amour à lui pour moi, comme pour le monde entier, existait déjà… J’ai compris, pour finir, que si pour une raison ou une autre, je ne vois ni ne sens quoique ce soit, ce n’est pas pour autant que l’amour et les choses cessent d’exister. Quelle découverte voire illumination de l’amour ! Quel soulagement !

Il devient évident que pour pouvoir concevoir ces choses et vivre l’amour absolu, on a besoin de nous appuyer sur du plus solide que les émotions… Il nous faut une parole qui dit vrai, prononcé par la vérité en personne !

Mais où peut-on trouver cette parole et cette personne ?

C’est très intéressant ce que la Bible déclare… (Ancien Testament, livre de la Genèse, chapitre 1) :

« Dieu dit : Que la lumière paraisse ! Et la lumière parut. Dieu dit encore : Qu’il y ait une voûte, pour séparer les eaux en deux masses ! » Et cela se réalisa.
Dieu dit encore :
(et ainsi de suite… jusqu’à ce que la création fut terminée)
Dieu dit enfin : « Faisons les êtres humains à notre ressemblance… il les créa homme et femme »…

La Bible dit aussi… (Nouveau Testament, évangile de Jean, chapitre 1) :

« Au commencement de toutes choses, la Parole existait déjà ; celui qui est la Parole était avec Dieu. Il était Dieu. Il était donc avec Dieu au commencement. Dieu a fait toutes choses par lui ; rien n’a été fait sans lui ; ce qui a été fait avait la vie en lui. Cette vie était la lumière des hommes »…
Selon ces citations, la vie, l’amour et la parole, forment un ensemble, une unité.


Grâce à cette parole… qui me promet que Dieu m’aime peu importe si je le sens, le vois ou non, je commençais de plus en plus souvent à rire de bon cœur, bien qu’étant encore en pleine détresse…

Grâce à cette parole… je recommençais à croire en mon couple. Comme au jour de notre mariage où tout était magnifique et qu’au moment des vœux je disais oui à mon élu, je pouvais à présent redire en mon cœur un oui sincère à mon mari, alors que pour moi, plus rien n’était magnifique…

Grâce à cette parole… j’ai reçu la force de ne plus devoir me soumettre à mes sentiments depuis longtemps devenus mauvais. Je n’étais plus obligée de me laisser contrôler par eux et de les prendre comme référence pour distinguer le vrai du faux, ce qui m’aurait encore d’avantage éloigné du vrai amour.
Il faut dire que lorsque les sentiments sont au « beau fixe » on aime s’y soumettre jusqu’à même se laisser diriger et manipuler par eux. Mais ce qu’on ignore trop souvent, c’est que lorsque les sentiments deviennent mauvais, ils réclament la même soumission de notre part et il devient alors très difficile de leur résister… Pour ma part, j’ai pu demander pardon à Dieu pour mes injustices envers lui, envers l’amour…

Ainsi purifiée et détachée de mes liens, la foi était prête à agir. La nuit noire en moi et autour de moi devait fuir devant elle, et mon mari, mon couple et ma famille ont été miraculeusement restaurés ! J’avais atteint la source. Réconciliée avec Dieu, j’ai découvert l’amour dans toute sa bonté, sa splendeur et sa puissance! C’était la fête, car Dieu, mon mari et moi-même nagions ensemble dans le bonheur, dans l’eau de la source.

Ce que je craignais ne s’est pas réalisé, c’est-à-dire qu’en aimant Dieu d’un amour exclusif, mon amour pour toute autre chose puisse diminuer ou disparaître. Le contraire est arrivé ! Je n’ai jamais autant aimé les gens et les choses autour de moi depuis, y compris mes « ennemis ». J’expérimentais également que lorsque je choisis de dépendre du Dieu d’amour, je suis libre et protégée de toutes dépendances destructives. C’est sans doute la seule « dépendance » qui ne s’impose pas et qu’en la « choisissant » nous réservent de bonnes surprises…

Dieu dit qu’il nous a tous choisis avant la fondation du monde. Nous pouvons le croire, car il nous a apporté des preuves. Il a prouvé qu’il est amour puisqu’il n’est pas Dieu que pour lui-même, il nous présente son Fils et, autre preuve de son amour envers nous, il sacrifie ce fils bien-aimé Jésus Christ, l’amour personnifié, capable (en raison de sa résurrection) de s’incarner chez qui le désire…

C’est à notre tour maintenant de le choisir. Nous sommes libres de le refuser car l’amour, pour rester amour, n’a pas le choix, il doit laisser le libre choix. Si nous le refusons, Dieu continue à nous aimer… mais nous manquons d’expérimenter l’accomplissement de l’amour véritable, qui n’existe que dans l’amour partagé avec le Dieu qui incarne l’amour.

Quelle offre !

Puissions-nous chercher et saisir cet amour pour que chacun, qu’il soit enfant, adulte, beau, infirme, célèbre, inconnu, doué, nul, marié, célibataire, etc. contribue, dans un monde malade d’amour, à ce que l’Amour avec un grand « A » rayonne à nouveau, comme il le mérite !
Alors des personnes de plus en plus nombreuses pourront, sans hésitation et sans crainte le proclamer… et pourquoi pas en chanson ? A M OU R, J E T’A I M E !

 

Deux coeurs

 

Hymne à L’amour … La Bible, 1 Cor. 13

Si je parle toutes les langues et même celles des anges, mais que je n’ai pas l’amour, je suis un cuivre qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Si j’ai la compréhension de tous les mystères et toute la connaissance et aussi la foi pour transporter des montagnes, mais que je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.

Si je distribue tous mes biens aux pauvres, si même je livre mon corps aux flammes, mais que je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité ;

L’amour pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.

L’amour ne meurt jamais…

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