Devant la croix

LE DROIT DE SAVOIR …

« L'être humain ne sait ni d'où il vient, ni où il va... mais il n'y a pas de doute :
il y va certainement ! »

Adolescente, j'aspirais comme tout le monde à l'estime de soi et à être bien dans ma peau, mais… pas avant d'avoir éclairci le mystère de mon origine (je viens d'où ?) et de ma destinée (j'irai où ?)

Le fait d'avoir de l'assurance face à mille choses mais d'être dans le doute face à la mort, me paraissait incohérent et donc absurde.
Je me disais : « Franchement, à quoi bon dépenser son énergie et s'épuiser à accroître son savoir, si la mort anéanti, d'un seul coup, toutes nos connaissances ?
Ce qu'on sait parfaitement, c'est qu'après la vie il y a la mort. Alors pourquoi ne cherche-t-on pas à savoir s'il existe une vie après la mort ?
Pourquoi l'être humain consacre-t-il tant d'énergie à chercher et à comprendre tous les mystères qui l'entourent tandis que, face au mystère de la mort, il se résigne à rester ignorant ?

Est-il sensé de chercher un sens à cette vie sans s'intéresser à ce qui se passe après ?

Quant à moi, je voulais absolument savoir, même si cela devait me confronter à l'idée de la mort, ce que j'avais en horreur, si tout se termine avec la mort, ou si tout ne fait que commencer. J'estimais qu'avoir cette connaissance fait aussi partie des droits de l'homme.
Et j'ai reçu des réponses à ces questions !

Dans la lettre que Dieu a adressé aux humains (la Bible), j'ai découvert que ce qu'on nomme le ciel (une vie sans fin de bonheur et de plaisir) existe vraiment, mais que l'enfer (une vie sans fin de malheur et de regrets) existe également.
J'ai aussi découvert qu'on peut avoir la certitude d'aller au ciel avant même de passer par la mort !
Incroyable mais vrai ! J'ai reçu cette assurance absolue.

Dès lors, ma peur et ma lassitude face à de multiples choses, ont dû céder la place à une joie toute nouvelle, inexplicable, venant d'ailleurs.
De plus, j'éprouvais un plaisir pour tout ce qui se présentait à moi. Je trouvais que même les expériences les plus banales de la vie devenaient intéressantes, voire passionnantes.
Tout prenait un sens nouveau, parce que j'avais maintenant cette assurance que, si je devais mourir, j'irai au ciel, un endroit splendide !
Pour moi, avoir reçu cette certitude vaut désormais bien plus que posséder toutes les richesses du monde.
Autrement dit, l'ensemble des richesses de la planète serait toujours insuffisant pour acheter cette conviction profonde, cette assurance d'être sauvé d’une mort éternelle.

Car... continuer à ignorer ce qu'il faut à tout prix savoir provoque au tréfonds de nous-mêmes (dans l'inconscient) un malaise permanent au détriment de notre véritable identité.

Le secret de cette assurance ?

Je l'ai découvert dans l'amour de Dieu ! Un amour manifesté en son fils Jésus-Christ, Dieu devenu homme !

Homme infini, le seul, l'unique rendu capable de mourir à la place de toute l'humanité, de chaque être humain, afin de tuer à sa racine le virus du mal qu'est le péché, l'orgueil, planté au fond de chacun de nous.

La Bible déclare que si ce virus n'est pas exterminé, un jour ou l'autre, tôt ou tard, c'est lui qui nous détruira pour de bon…

La mort était incapable de retenir Jésus, car il venait du ciel et de Dieu. Et la preuve qui nous a été donnée, c'est qu'il est ressuscité d'entre les morts.

Voici la bonne, la meilleure nouvelle parmi toutes les nouvelles qui arrosent notre monde.

Etant du ciel, Jésus y est retourné auprès de son Père – devenu notre Père – dans le but de préparer une place au ciel pour chaque être humain.
C'est l'immense don qu'il offre.
La grande question : « Allons-nous l'accepter…? »

Du côté de Dieu, tout est accompli !

Le remède que personne n'est capable de payer est désormais à la portée de tous !

Que vont faire les humains de cette offre ?

Que nombreux, très nombreux soient ceux qui saisiront cette chance, ce salut à temps !

Bible, Jean 3, 16

Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, pour que tout ceux qui croient en lui ne périssent pas, mais qu'ils aient la vie pour toujours.